K k once was a fi d bridge which I had not had the opportunity to participate... but I have enough!
Then with a delay chouia, v ' l a beautiful p' tit pont a little aging, which is on the track to 30 km from Zazate in the direction of Tazzenakht (do see or is?) 
).
It is rather a bridge a bridge... history to cross the Wadi Ahanzal without getting wet feet and the condition of falling water.
It is in the High Atlas, the "Cathedral of Cath".
Another bridge which I like, the Bin el Ouidane Lake. By the mirlitaires Gård, s franchise should not take photos... particularly is a State secret?
A nice in any case, the suspension bridge that made cloc-cloc-cloc when driving on their tables.
Me voil? d'retour du circuit qui s'est merveilleusement bien pass?, merci.
Pour la devinette, figurez-vous qu'il y a un gagnant et c'est notre ami Kofkof ! J'sais pas s'il l'a fait expr?s ou si il a dit ?? au hasard par d?rision, mais c'est ?? pile-poil !
La premi?re photo a en effet ?t? prise sur Mars par le robot Curiosity et la deuxi?me photo est simplement dans le d?sert marocain...
Si vous voulez plus de d?tails sur Mars, voici un lien int?ressant: http://www.20minutes.fr/sciences/1228479-20130926-sol-mars-contient-2-eau
Kofkof, t'as donc droit ? toute ma consid?ration, emball?e dans un joli papier cadeau et ? venir retirer sur place juste ? l'endroit de la deuxi?me image 
Troisi?me jour, qui suit de pr?s le deuxi?me comme il se doit... nous partons de Tazzarine o? nous avons dormassionn?, en direction de Taghbalt, puis de Zagora.
Les pistes sont pisteuses, les plateaux sont plats et les dunes sont sablonneuses, ce qui nous r?jouit grandement. On a m?me eu droit ? un peu de soleil, rendez-vous compte !
The balade
»The balade 3
The balade 2Deuxi?me jour. Nous attaquons le djebel Saghro, qui ne nous apourtant rien fait. Le temps est toujours aussi nuageux, maisheureusement le djebel est toujours aussi montagneux et lespaysages restent somptueux...
Sans tarder j'vous ai pr?parationn? une relatationnerie de notre balade... dommage on a eu une m?t?o pas terrible, nuageuse, venteuse et tout, mais heureusement pas de pluie !
V'l? donc le premier jour z'en images comme d'hab et ci-dessous:
Quatri?me et dernier jour. Nous quittons la kasbah Sirocco o? nous avons pass? la nuit et nous voici rouli roulant dans la palmeraie pleine de palmiers...
C'est le retour vers Ouarzazate, avec les zoulis paysages de la vall?e du Draa et les beaux djebels du c?t? de Tafetchna...
Skier dans le sable, pourquoi pas ? Avec les gromadaires en guise de tire-fesses !
Mais avez-vous d?j? essay? de skier ? deux sur un monoski avec deux chaussures ?
Fran?oise et sa soeur Martine ont essay?, avec un succ?s... mitig? !
Au secours, les envahisseurs nous attaquent en masse ! La preuve sur ces images angoissantes...
?? se passe ? la Dune Blanche vers Dakhla et ce sont les crabes qui sortent de leur trou ? mar?e basse. Il suffit d'avoir un seau et de se baisser pour les ramasser !
Ensuite, bien cuits avec les ?pices qu'il faut, c'est un r?gal dans nos assiettes !
Apr?s un chti interm?de sur le d?fi arc-en-ciel je reviens z'? mes moutons, c'est-?-dire ? mon d?fi sur les photos originales.
Voil? voici donc que j'vous propose aujourd'hui dans un premier temps ma copine Dada (je sens qu'elle va faire la gueule) en train de fricoter avec L?on... n'ensuite de quoi z'allez d?couvrir un camion antropophage et une photo que c'est pas mes oignons...
L’homme entra dans le bureau apr?s avoir poliment toctoqu? la porte.
- M’sieur l’commissaire j’viens porter plainte, ma Violette a ?t? viol?e cr? vingt diou.
- C’est votre femme ?
- Oh non, la vache !
- Elle est si d?sagr?able que ?? ?
- Mais non, c’est ma vache. Violette c’est ma vache viol?e bon diou.
- Et qui a viol? votre vache ?
- Ben ch’sais pas. C’est point moi en tout cas, sacrebleu.
- Tr?s bien, cela m?rite une enqu?te approfondie, je viendrai chez vous cet apr?s-midi.
Le commissaire gara son fid?le destrier Adadasurmonbidet devant la ferme et descendit de cheval directement sur une tr?s belle bouse pos?e l? sans doute par erreur. Une accorte fermi?re s’approcha, intrigu?e par cet homme au soulier droit bien cir? et au soulier gauche crott? jusqu’aux chaussettes.
- C’est quoi qu’vous voulez ?
- Bonjour Madame, j’enqu?te sur Violette votre vache viol?e.
- C’est quoi donc c’t’histou?re bon d’l? ?
- Votre mari est venu porter plainte ce matin pour le viol de Violette.
- Ben j’comprends point, c’est qu’elle sait point voler ma Violette !
- Vous m’avez mal compris, Violette ne vole pas mais a ?t? viol?e.
- C’est mon mari, bon gu !
- Mais… pourtant votre mari m’a dit que ce n’?tait pas lui.
- J’sais bien qu’il a pas viol? Violette. C’est lui qui dit qu’c’est fait.
- Pouvez-vous me faire visiter la ferme, nous allons interroger les divers protagonistes.
- Y a pas d’?? ici, mais suivez-moi donc, j’m’en vas vous montrer tout c’qu’on a.
Le commissaire et la fermi?re se dirig?rent vers l’?table et rencontr?rent un taureau en chemin.
- Dites-moi ch?re madame, ne pensez-vous pas que ce taureau pourrait ?tre coupable ?
- Ben j’le connais point ?ui-l?. C’qu’y fout donc l? ?
- Hi-han, fit soudain le taureau.
- J’reconnais point la voix d’un taureau, bon gu d’l? ! C’est qu’y m’para?t bizarre le bougre !
Le commissaire s’approcha alors de l’animal et lui dit :
- Bonjour Monsieur du Taureau, comme vous avez de grandes oreilles !
- Hi-han, r?pondit le taureau.
- Et vous me semblez bien petit…
- Hi-han, r?pondit le taureau.
Notre courageux commissaire avan?a alors la main et arracha la fausse peau du taureau, qui s’av?ra ?tre un ?ne d?guis? en taureau.
- Vous ?tes refait, s’?cria le commissaire ! C’est vous qui avez viol? Violette !
- Ciel, hi-han ! R?pondit l’?ne
- Mais c’est qu’?? s’rait l’Basile, l’vieux vicelard qu’j’avais ben vu qu’y tournicotait autour d’la Violette ces temps-ci ! Viens ici que j’t’attrappe bon d’l? d’bon sou?r ! S’?cria-t-elle en se lan?ant ? la poursuite du coupable.
Encore une enqu?te rondement men?e, pensait le commissaire en rentrant dans le soleil couchant ? la maison (il rentrait ? la maison, pas dans le soleil couchant) tout en fredonnant en anglais ? A?e ame poure long somme commissaire, qui rentrait at home in the sliping sun ? mais en ?tant pas s?r que la phrase ?tait correcte, car il parlait toujours aussi mal anglais.
Juste avant le circuit que j'viens de vous conter ces jours-ci, nous avons fait une petite f?te ? Agdz chez nos amis Fanny et Bernard. Ils se sont mari?s en France cet ?t? et ils ont voulu f?ter ?? avec leurs amis d'ici.
Voil? une chtite vid?o que j'vous livre toute crue. Z'excuserez la qualit? qu'est pas g?niale car c'est fait avec le p'tit appareil-photo, mais ?? donne une id?e de la chose...
Et comme ma vid?o n'est pas rendue publique, faut cliquer sur le lien que voici que voil?:
http://youtu.be/EIAZwC5rzTI
Comme vous z'en souvenez certainement, apr?s Chigaga, y a Iriki. Le fameux lac o? qu'y a rarement de l'eau. Donc ? force d'y aller on finit par y arriver, ce qui semble logique.
Et apr?s, me direz-vous ? Apr?s, on continue dans la direction de Foum Zguid, puisque c'est l? qu'on va hein. Mais z'on a pas oubli? de s'arr?ter ? notre coin ? fossiles... pas longtemps cependant, parce que le soleil nous tapait m?chamment sur la t?te !...
Fin du cinqui?me jour de circuit... apr?s le lac Iriki, on file droit sur le Madouar que vous pouvez voir ci-dessous, et on passe derri?re. Pourquoi, me demanderez-vous ? juste titre ?
- Eh bien, vous r?pondrerai-je doctement, c'est parce que si on passe devant, la piste est mauvaise. Caillasse et t?le ondul?e. Et vous voulez tout d'm?me pas que j'vous impose ?? hein !
Donc, on passe derri?re. La piste est bonne, c'est plus joli et ?? arrive aussi ? Foum Zguid. Que demander de plus ?
En tra?nant mes gu?tres sur fesse de bouc, j’ai d?couvert un article sur la cigarette ?lectronique. Je dois pr?ciser que le sujet m’int?resse, dans la mesure o? ma Fran?oise s’y est mise pour essayer de fumer moins de vraies clopes…
Donc, je lis l’article : la clope ?lectronique c’est pas bien. C’est canc?rig?ne (parce que les vraies cigarettes ?? ne l’est pas…) et ?? contient des tas de trucs pas bien.
Le niveau de nicotine est trop ?lev?, ou pas assez (j’ai pas bien compris) et le pire c’est que ?? peut tuer un enfant ! Je suppose que pour tuer le gamin, il faut qu’il bouffe la clope et qu’il l’avale de travers ? Ou alors qu’il s’?lectrocute avec la batterie de 1,5 volt ? Parce que c’est ?vident que si tu fumes une cigarette ?lectronique, tu vas la refiler ? ton mouflet pour qu’il joue avec… d’ailleurs tous les fumeurs ont l’habitude de laisser leurs gamins jouer avec leurs clopes, c’est bien connu.
En bref, c’est nouveau, ?? donne de l’espoir aux fumeurs qui ont du mal ? freiner leur consommation, donc C’EST PAS BIEN !
Si vous ?tes fumeurs, ne faites rien, n’arr?tez pas de fumer et continuez ? payer 90% de taxes sur vos paquets de clopes, sachant que bient?t il faudra vous cacher pour fumer, sinon vous irez directement en prison.
Aux derni?res nouvelles, ils seraient en train d'?tudier le moyen de taxer les clopes z'?lectroniques... ben ouais, on interdit partout de fumer, mais faut quand m?me que ?? rapporte !
Un petit conseil : arr?tez de fumer et mettez-vous ? voler des bagnoles, ?? co?te moins cher, c’est meilleur pour la sant? et c’est pas puni par la loi !
Sixi?me et dernier jour... ben ouais j'ai mis 15 ?pisodes pour vous raconter ??, mais c'?tait histoire de faire durer l'plaisir !
Nous voil? repartis de Foum Zguid en direction de Zazate. Un p'tit d?tour vers Assaka, o? nous trouvons la piste compl?tement cass?e qui nous oblige ? faire demi-tour et rejoindre la route.
Qu'? cel? ne tienne, on arrive pile-poil ? l'heure sous notre acacia local, dernier pique-nique avant de rentrer...
En ce premier lundi avant le dimanche pr?c?dent, la m?t?o n'?tait pas optimiste et pr?voyait un peu de pluie. Nous avions donc pr?vu les k.ways, mais fort z'heureusement nous ne nous en servassimes que cinq minutes en fin de journ?e.
La journ?e se passa donc fort t'agr?ablement de la mani?re ci-dessous. Apr?s Skoura que z'avez vu hier, on continua par Toundoute et Tamsult, qui comme vous le savez sont au pied du Haut-Atlas, dans la mesure ou celui-ci en poss?de (des pieds).
On en est ? la fin du deuxi?me jour... (si j'continue comme ??, l'ann?e prochaine on y est encore ! Va falloir acc?l?rer un peu le cours de l'histoire...).
Apr?s Boumalne, on a hardiment franchi le Djebel Saghro qui n'avait pas chang? de place depuis la derni?re fois, puis nous voici dans la Vall?e du Todhra et les fameuses gorges du m?me nom.
J'vous laisse admirer tout ?? tranquillement...
Nous voici en route pour le troisi?me jour de balade (j'vous le pr?cise parce que j'sais bien qu'y en a qui suivent pas 
). Direction Mecissi. Si vous connaissez pas c'est facile: vous allez jusqu'? Ait el Farsi et vous prenez ? droite jusqu'? la piste de Taoumart. Ensuite, c'est ? gauche. Fastoche, non ?
Entretemps bien s?r, z'avez pas oubli? de vous arr?ter sous l'accacia ad?quat, dans la mesure o? z'avez pas oubli? le n?cessaire de survie...
Suivant mes habitudes habituelles, vous allez trouver dans ce post la suite du d?but de la balade, ce qui vous permettra de comprendre le d?roulement de la chose.
Car si j'avais commenc? par la fin, z'auriez pu croire que nous ?tions arriv?s avant d'?tre partis, ce qui serait f?cheux.
Continuons donc dans la continuit? et bonne promenade z'avec nous !
Quatri?me jour, fin pr?ts pour toute une journ?e de piste... tout le monde est en forme et a le sourire, c'est bon signe ! D?part pour Tafraout, village du d?sert, avec un petit arr?t chez notre ami Sa?d pour boire le th? et admirer ses superbes fossiles.
Z'ensuite, on file plein ouest, comme vous vous en doutiez ?videmment. Y a des gromadaires, des mirages et... des arbres ? ap?ro !
M'harch je vous en ai d?j? parl? des tas de fois, donc vous connaissez (presque) aussi bien que moi. Mais pour y aller y a plusieurs possibilit?s et cette fois nous sommes sur la piste qui vient de Mecissi, que j'vous ai pas encore montr?e...
Alors voil?: en arrivant ? Mecissi, vous prenez la piste ? droite avant la station, et vous filez tout droit sud-est. Bon ok, y a des tas de pistes sur votre chemin qui peuvent vous ?garer, mais il suffit de pas les prendre hein !
Allez, suivez-nous...
Apr?s le fort militaire d'Esguilma, y a un endroit qui s'appelle M'herd... joli nom, n'est-ce pas ? Et ? partir de l?, la piste devient p?nible pendant un bout de temps. Caillasse et deux cols ? franchir, aussi mauvais l'un que l'autre.
Mais entre les deux y a Le Puits... la r?compense ! Ensuite, la grande plaine qui nous am?ne ? la vall?e du Draa, o? on retrouve la civilisation !
Le M'Goun est un oued qui se jette dans l'oued Dad?s vers Ait Hamoudene et je suis s?r que vous ?tes enchant?s de le savoir. Son lit suit la vall?e du M'Goun, ce qui tombe bien car il aurait ?t? bien ennuyeux qu'il suive celle du Dad?s par exemple.
Et en d?finitive il a bien fait de passer par l?, parce que nous aussi. Pas que nous ayons l'intention de nous jeter aussi dans le Dad?s, mais juste de profiter des zolis paysages que la vall?e nous offre gentiement...
Ce sixi?me post sur notre balade en septembre risque de vous confusionner et vous faire croire que c'est le sixi?me et dernier jour... que nenni ! Car il m'arrive de vous passer plusieurs posts pour une seule journ?e suivant les photos ? ma disposition.
Nous en sommes donc z'aujourd'hui toujours au deuxi?me jour de circuit, l? o?s qu'on se dirige tranquillos vers Boumalne pour les casse-cro?te de midi.
Mais z'inqui?tez pas si vous avez pas tout compris, envoyez-moi une demande de renseignements compl?mentaires en six exemplaires l?galis?s et je vous r?pondrai...
Dans nos circuits nous avons l'habitude de dormir la nuit, ce qui semble ?tre d'une logique irr?futable autant que confortable. Ce premier jour fut donc suivi d'une nuit qui se passa ? notre bivouac dans l'oasis de Naga.
N'ensuite de quoi, nous attaqu?mes le deuxi?me jour de balade en repartissant all?grement vers d'autres horizons, en direction de Kelaa m'Gouna et la Vall?e du M'Goun.
Donc:
Rest Tazzarine, auberge Bougafer. Is not the most beautiful place of the region r, but benefits: bi re che fra, works of air conditioning and the pool is full of water... the only problem is the shower: cold water is so hot that you can m does not reach me down!
But we are to write... While the cold water cools, it's revenge for the buraco and we won! Who has won you say? Ben know more...!
Before returning the atom, i.e. Zazate, had a last reco Tazzarine-Tafilalet. Although it would not be strange and wrong and against everything the f my...
And late to make my point, because the track was beautiful and interesting int. Only after that t z'arr my last P'tit z'ap ro-picnic and sailor my cheu us...
End of the tour!
Z ' that storks j d seen coming hits 3000 km the strength of your small z' wings to spend the winter in hot? EH ben voil, arrival is direct to Alsace.
Sales and tired, rely on the tour expected to join his usual nest to some, or continue their journey South to others...
La poursuite de la construction d'un mur de séparation par Israël dans les territoires palestiniens occupés a porté un coup sévère au processus de paix et de l'économie palestinienne
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Lauréat de l’Institut Supérieur d’Art Dramatique et d’Animation Culturelle (ISADAC) à Rabat en 2007, Ghassan El Hakim entame u périple en Franc pour cumuler les expériences et parfaire sa formation.
Il est jeune, il est artiste, il est «bronzé», il a une vision, il n’a pas froid aux yeux, et il n’aime pas les sentiers battus. Ghassan El Hakim, est le candidat idéal pour la marginalité dans une société conservatrice, empreinte de clichés et d’idées reçues comme la notre. Pour expliquer son approche de l’art, Ghassan s’explique : « Je suis un adepte de Joseph Beuys, pour ceux qui ne le connaissent pas, Beuys était un sculpteur allemand, performer, vidéaste Fluxus, un plasticien très engagé politiquement et fervent défenseur de l’idée que l’art est chose commune chez tout les êtres humains, «tout Homme est un artiste», il suffit juste de mettre en avant cette faculté et l’assumer en tant que citoyen artiste. ce n’est pas un prestige d’être Artiste, c’est plutôt une responsabilité ». Justement, il fait du théâtre, de la vidéo, de la musique, de la danse. Il a des idées, mais pas toujours politiquement correctes. Ce cocktail « explosif » fait de lui un personnage à part sur la scène artistique marocaine. Ce lauréat de l’Institut Supérieur d’Art Dramatique et d’Animation Culturelle (ISADAC) à Rabat en 2007 ne s’étant pas contenté de la formation très officielle de cette école, il a décidé d’aller en France pour perfectionner ses aptitudes accumulant les formations, les expériences et les rencontres. Selon lui, « l’ISADAC est une école publique étatique, qui a été fondée en 1986 pour mettre fin à la vague du théâtre amateur, très engagé à cette période. Former des comédiens et des animateurs professionnels fut le but de cette institution. Dénigrer tout le travail effectué jusqu’à lors par les amateurs, tout leur théâtre engagé, leur discours didactique qui attirait le public, furent monnaie courante au sein de cette école ». Dur de supporter ce formatage pour l’électron libre qu’il est. Il ne mâche pas ses mots pour parler de cette institution qui, malgré la formation qu’elle offre n’assouvit pas ses attentes en tant qu’artiste, pour lui « dans cette école, sauf exception, on vous apprend à faire de l’Art pour l’Art, on vous formate pour vous dire après quatre ans de formation que vous êtes artiste puis on vous lâche sans vous préparer dans un marché où tous les coups sont permis, où on fait du théâtre pour gagner son pain sans plus ». Et ce n’est certainement pas ce qui satisfait sa vision de l’art et la fonction qu’il entend lui donner en société, « l’idée que je défends est simple : l’Art peut sauver les gens de l’obscurantisme et du fanatisme qui menace leurs vies. L’art doit être une action continue dans le temps et l’espace, il ne doit pas se dissocier de nos actions quotidiennes les plus futiles. L’art est la science de la liberté, un outil pour éduquer les gens à la citoyenneté et au respect de soi et de l’autre. » explique-t-il sans fioriture aucune. Ces idées, il les a matérialisées aussi bien au niveau de son art que dans le champ de l’engagement politique. Le début du printemps arabe, l’avènement du mouvement 20 février au Maroc, et toutes les péripéties du monde arabes lors de ces trois dernières années ne l’ont pas laissé indifférent, au contraire. Il a multiplié les vidéos, les court-métrages, les pièces de théâtre et bien d’autres initiatives culturelles qui lui ont valu quelques déceptions et déconvenues. Ceci dit-il est «quelqu’un de très optimiste, j’abandonne rarement. Je crois que cet engagement m’a permis de rétrécir mon cercle de confiance. Certes j’ai perdu plein d’amis, qui peut être ne l’étaient pas vraiment, mais ça m’a permis de bien me concentrer sur mon travail, ma façon de voir les choses, de m’ouvrir sur d’autres idées et d’autres points de vue ». Pour l’histoire, il a obtenu le premier prix lors du Yalla Film Festival avec son court «Baltagi Driver», une sorte de caricature de l’attitude hostile au changement et à la démocratie que l’on peut rencontrer dans des sociétés réactionnaires comme la notre.
« Garajay »,
une bande à part
Dans sa dynamique d’artiste engagé, et dans la foulée des événements, il crée avec un collectif d’artistes de la nouvelle génération, « Garajay ». il définit ce projet artistique comme « une idée qui a plusieurs manifestations éphémères dans la cité. c’est un travail sur l’espace qui part d’un principe qui ne dissocie pas l’espace du temps, c’est une action créatrice qui a pour but d’être permanente et continue, D’où l’idée d’exploiter divers espace dans la médina (la cité). Nous sommes à la recherche de vieilles salles de théâtre, des cinémas abandonnés ou des cabarets vides, nous essayons de faire renaître ces lieux de représentation et leur redonner la fonction qu’ils devraient jouer ». Conséquent avec lui-même et son approche de l’art en général et du théâtre en particulier il affirme que dans Garajay, « Nous respectons les espaces et les transformons en espace de création et d’expérimentation artistique Libre et ininterrompu. Le résultat de notre travail reflète bien la philosophie que nous défendons : l’art doit quitter le moule divertissant où on l’a mis pour devenir une action citoyenne marquée dans l’espace temps; poussant le spectateur/public à assumer sa part de responsabilité vis à vis de la cité où il vit ».
Parmi les créations de ce mouvement artistique « Walou », une pièce qui sera représenté au théâtre de la FOL à Casablanca le 27 juillet prochain. Cette pièce, « c’est une adaptation du «Suicidé» de Nicolaï Erdman un texte russe écrit en 1928, qui a été censuré par Staline lui-même et resté dans un tiroir pendant plus de cinquante ans sans être joué». Une adaptation qui promet de faire des étincelles eu égard à l’humour de l’artiste et son encrage dans la culture bien de chez nous.
Cet article Ghassan El Hakim : renaissance d’un art engagé est apparu en premier sur Le Soir-echos.
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Vous êtes mari et femme à la ville, et initiateurs du groupe «Mélimane». Comment vous êtes-vous rencontrés ?
Imane?: au Maroc, choisir la musique comme métier n’est pas bien vu pour une fille. Je faisais partie de la chorale de Mohammedia, ma ville d’origine, mais j’ai dû arrêter à cause de la réticence de mes parents. Vivre pleinement ma passion était problématique. Je me suis armée de patience, et j’ai attendu tout ce temps-là pour réaliser mon rêve. Lorsque j’ai rencontré Karim au lycée en 2002, l’idée d’une collaboration a germé et nous avons joué pour la première fois au lycée Lyauté. Une soirée mémorable… puis les concerts se sont enchaînés.
Karim?: à l’époque je baignais dans le hip hop français et le rock, et je commençais à considérer une carrière dans la musique. A Mohammedia, les soirées à tendance feu de camp et surf ne manquaient pas, et c’est ainsi que j’ai commencé à jouer la guitare avec les amis. Lorsque j’ai rencontré Imane, je suis tombé sous le charme de sa voix, voilà comment notre collaboration a commencé. Plus tard, en 2010, nous avons été appelé en 2010 pour des sessions de jam à la villa des Arts de Casablanca. Après cette expérience, il a fallu chercher d’autres musiciens pour former le groupe.
Vous êtes les gagnants de Génération Mawazine, édition 2012. Parlez-nous de cette expérience. Karim?: génération Mawazine est la seule compétition musicale à laquelle nous avons participé au Maroc. A la base, l’idée vient d’Imane qui a décidé, sur une impulsion, d’envoyer une maquette aux organisateurs. Pour cette édition de Génération Mawazine, Maroc Culture a voulu changer les règles du jeu et organiser une compétition qui englobe toutes les catégories musicales, au lieu de choisir un gagnant par catégorie, à l’instar des années précédentes. Pour la finale, nous étions au coude à coude avec le groupe métal Hinder Minds de Casablanca et le groupe rap métal Killing the Game. Nous avons vécu l’expérience d’une manière spontanée, au gré des étapes, et nous avons composé quatre chansons, en essayant de trouver le juste milieu entre les affinités des mélomanes au Maroc et notre penchant pour la musique « underground » que nous souhaitons conserver. Par ailleurs, nous sommes contents d’ avoir gagné un contrat de cinq ans de management et un album que nous préparons actuellement.
Quelles seront les thématiques et la tonalité de cet album ? Et quand sortira-t-il dans les bacs ?
Imane?: en ce moment, nous effectuons une série de repérages, à la recherche d’un studio d’enregistrement, et l’album devrait être prêt à la rentrée. Il regroupera les quatre compositions de Mawazine, que les gens connaissent vu qu’ils sont disponibles sur Soundcloud et sur Facebook : « The Rebound », « Music », « Right and wrong » et « Go to hell » une reprise réarrangée de Nina Simone.
Karim?: il incluera également « Hal el denya » inspirée des paroles du poète Abderrahman Majdoub, que nous avons retravaillé à la manière d’un morceau reggae, avec une partie en anglais chantée par Imane. Nous avons également enregistré deux chansons, dont « Music » qui passe sur les ondes depuis février. Nos thèmes sont universels, et chaque chanson est un état d’âme en soi, et une émotion qui reflète une expérience personnelle, notre perception de la société et du monde qui nous entoure.
L’album sera-t-il en vente ou en téléchargement ?
Karim?: c’est Maroc Culture qui s’occupe de ce volet. Les organisateurs comptent placer tous les morceaux des artistes qui ont participé à Génération Mawazine sur une plateforme de téléchargement légal.
Qui compose les chansons?
Imane : nous travaillons souvent en tandem: J’écris les paroles et Karim compose la musique, et les autres membres du groupe affinent et arrangent. Le travail est quasi-collectif, mais le fait que Karim et moi sommes mari et femme facilite l’échange.
Pourquoi écrire en anglais, non en français ou arabe,?
Parce que dans cette langue je peux m’exprimer librement. L’anglais est mon langage musical. C’est étrange, mais le fait que l’anglais ne soit pas ma langue maternelle me met à l’aise. C’est comme un déguisement où je me sens libre de verbaliser les choses. En arabe ou en français, les émotions sont moins faciles à exprimer.
Votre single « Music » passe actuellement sur les ondes. Pourquoi avoir choisi de promouvoir ce morceau pop, au détriment de la musique que vous jouez normalement, à savoir la soul et le reggae ?
« Music » a été composée pour toucher le grand public, parce que nous savons que les chansons qui passent à la radio doivent être accessibles et entraînantes. Notre première chanson « The rebound » est assez complexe. Nous élargissons notre spectre, et nous composons aussi bien de la pop que des morceaux plus complexes. Nous invitons les fans à venir aux concerts pour choisir ce qui leur plaît, et filtrer. Le public ne nous connaît pas encore et c’est justement dans les concerts que ce genre de dialogue se crée.
Cet article Mélimane : «Chaque chanson est un état d’âme» est apparu en premier sur Le Soir-echos.
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Le peuple marocain a forgé sa conscience nationale, sous l’égide d’un Etat structuré séculaire, au fil d’un cheminement historique riche en épopées, et s’est aussi aguerri dans la confrontation de multiples épreuves qui ont impacté son identité et imprégné la singularité de son apport civilisationnel.
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Le groupe Holmarcom compte à son actif plusieurs projets tels Cap Tingis à Tanger et les projets Manazil Développement à Casablanca, Rabat et Meknès.
Holmarcom se lance en Afrique. « Fort de cette expérience, le Groupe s’implante en Afrique à travers une prise de participation majoritaire dans la société sénégalaise de promotion immobilière, Peacock Investments, et lance un important projet de logement social au Sénégal », annonce Holmarcom.
Un premier lot de 2 850 logements
Dans le détail, la 1ère partie de ce projet porte sur la construction de 2 850 logements dans la commune de Diamniadio, à 30 km de Dakar. Il s’agit de maisons individuelles avec un petit jardin, d’une superficie totale de 150 m². « Ce nouveau projet urbain, qui va comprendre un ensemble d’équipements de service public ainsi que des zones de commerce, a pour objectif de proposer aux Sénégalais moyens des logements décents dans un cadre où il fait bon vivre et ce, à un prix accessible », précise la même source avant de poursuivre que cette prise de participation du Groupe Holmarcom au Sénégal rentre dans le cadre de la stratégie de développement du groupe à l’international et plus particulièrement en Afrique.
Silence radio chez Holmarcom
Pour en savoir plus sur cette stratégie à l’international et en particulier africaine, ainsi que le montant de la transaction avec le gouvernement sénégalais, le groupe Holmarcom a décliné nos demandes d’informations. « A ce stade, nous ne pouvons malheureusement pas vous fournir plus de détails. Personne n’est habilité, pour le moment, à en dire plus », nous répond le groupe. Pour rappel, Holmarcom est l’un des acteurs majeurs dans le secteur de l’immobilier au Maroc. Le groupe Holmarcom compte à son actif plusieurs projets de grande envergure tels que Cap Tingis à Tanger et les projets Manazil Développement à Casablanca, Rabat et Meknès.
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Premier opérateur public dans le secteur de l’Habitat et de l’Urbanisme au Maroc, le Groupe Al Omrane est présent sur l’ensemble du territoire national à travers 58 représentations.
Le groupe Al Omrane formalise son adhésion à la Charte Environnementale et sociale. La signature par le Président, le Directoire et les directeurs généraux du Groupe a eu lieu le vendredi 5 juin 2013 au siège de la Holding. Cette signature matérialise l’engagement du Groupe à travers trois axes majeurs visant à l’inscrire dans une perspective de responsabilité sociétale. Trois axes majeurs structurent cette charte qui sera déclinée en un plan de gestion environnemental et social mis en place progressivement dans les filiales du groupe et au niveau du holding.
L’AFD accompagne Al Omrane dans cette démarche
L’Agence française de développement (AFD) a accompagné le Groupe Al Omrane dans cette démarche en contribuant à l’élaboration d’un plan de gestion environnementale et sociale (PGES). Ce document, préparé par un prestataire spécialiste des questions sociales dans les opérations de lutte contre l’habitat insalubre, contient un ensemble de mesures à mettre en œuvre et d’actions à exécuter pour chaque projet. A terme, ce plan sera déployé à l’ensemble du groupe et de ses filiales. En complément d’un nouveau concours pour financer le contrat programme 2013-2016, la mise en œuvre de ce PGES devrait bénéficier d’une subvention de l’AFD (agence française de développement), dédiée au déploiement d’un module de formation à l’attention des personnels du holding et des filiales en vue de sensibiliser les équipes projets aux dimensions environnementales et sociales.
Les trois axes de la Charte
Le premier axe concerne la mise en conformité à la réglementation et à la bonne pratique, notamment par rapport aux lois et règlements marocains applicables en matière environnementale et sociale. Dans une deuxième phase, il est prévu de tendre progressivement vers la bonne pratique internationale consacrée dans son domaine d’activité en matière environnementale et sociale. Le deuxième axe, consistera à évaluer et réduire les impacts environnementaux et sociaux du groupe, en suivant l’impact environnemental et social des activités, en examinant les possibilités d’éviter, de minimiser, d’atténuer ou de compenser les impacts liés à son activité, notamment en matière d’empreinte carbone, de déchets, d’extraction de matériaux de construction, de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs intervenant sur les chantiers, et d’impact sur les catégories de population les plus démunies ou vulnérables. Le dernier axe, consiste en l’amélioration de la communication avec ses clients, par la diffusion d’informations pertinentes relatives aux aspects environnementaux sociaux de ses activités, la réponse aux doléances ou questions exprimées par les parties prenantes aux activités du groupe.
Cette charte d’engagement du groupe Al Omrane conduira le groupe à produire en 2014 son premier rapport développement durable et à intégrer le volet extra financier dans ses futurs rapports d’activités.
Premier opérateur public dans le secteur de l’Habitat et de l’Urbanisme au Maroc, le Groupe Al Omrane est chargé de l’exécution des politiques publiques nationales et régionales, et assure cette mission par le biais de présence sur l’ensemble du territoire national à travers 58 représentations.
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La chronique de Salim Jay
Qui voudrait prendre la mesure du XXe siècle dans ses fureurs et ses grâces ne serait sûrement pas mal avisé en allant puiser dans l’immense ressource que constituent les journaux intimes écrits au XXe siècle. On commencerait tout naturellement par espérer que Jules Renard dont le Journal est un savoureux mélange d’acidité et d’intelligence ne laissa pas passer le 1er janvier 1901 sans noter quelque chose.
Allons y voir ! Et l’on n’est pas déçu car voici que l’auteur de Poil de Carotte écrit tout de go : « Ce journal me vide. Ce n’est pas une œuvre. Ainsi, faire l’amour quotidiennement, ce n’est pas de l’amour ».
Sur les rayons de l’immense bibliothèque à écumer depuis l’aube du XXe siècle s’engouffrent des houles, des foules, des foudres, des passions, des terreurs et maints ravissements provisoires ou durables. On rencontrera des auteurs lucides ou inconséquents, généreux ou mesquins, patauds ou futés. On lira les témoignages de gens illustres et les cris de victimes ayant raconté leur calvaire.
Encore Jules Renard, le 16 juin 1902, qui constate : « Nous ne disons plus « ma lyre ». Nous disons «Je» ». Et voici Rainer-Maria Rilke (dont Yassin Adnan a évoqué les traductions en arabe dans son émission Macharif). Le 23 avril 1903, l’auteur de Lettres à un jeune poète affirmait : « Un an ne compte pas : dix ans ne sont rien. Être artiste, c’est ne pas compter, c’est croître comme l’arbre qui ne presse pas sa sève, qui résiste, confiant, aux grands vents du printemps, sans craindre que l’été ne puisse pas venir ». Voici le peintre Paul Cézanne écrivant le 23 décembre 1904 « Nous allons vers les admirables œuvres que nous ont transmises les âges, où nous trouvons un réconfort, un soutien, comme le fait la planche pour le baigneur ». Une façon d’infirmer, en somme, l’illusion qui prenait Jules Renard, le 19 octobre 1905 : « Il y a des jours où je m’imagine être le premier qui a vu la vie ». Les lettres de certains écrivains sont si nombreuses qu’elles se rapprochent du journal intime. Ainsi en est-il des Lettres à Nora de James Joyce, l’auteur d’Ulysse. Le 5 septembre 1909, il écrit à son épouse : « Guide-moi, ma sainte, mon ange. Conduis-moi sur la route. Tout ce qui est noble et exalté et profond et vrai et émouvant dans ce que j’écris vient, je le crois, de toi ». Comme la taille de cette chronique ne nous permet pas de revisiter le XXe siècle année par année, retrouvons le peintre Nicolas de Staël et ses Lettres du Maroc (aux éditions Khbar Bladna, Tanger, 2010), le 25 octobre 1936 : « Chers Maman et Papa, j’ai un grand ami à Fès, Allal ben Mohamed Mernissi, il m’a fait manger chez lui du couscous, du poulet et du mouton. Ils donnent le couscous avec des grains de grenade. J’ai dû laver mes pieds, enlever mes souliers etc. Quels gens aimables, fumé du kif, du thé ». En 1938, on retrouvera Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir au Maroc, où, écrit celle que Sartre appelait Le Castor : « Nous goûtâmes un de ces dépaysements qui étaient les moments culminants de nos voyages (…) Le patron passa à Sartre une pipe au long tuyau, au fuseau minuscule, bourré d’une fine poussière : du kif ; il riait, ses amis riaient avec sympathie tandis que Sartre aspirait l’âcre fumée sans éprouver les vertiges que l’assistance lui promettait mais en jubilant tout de même ». De l’artiste Louise Bourgeois dont les sculptures font de nos jours l’admiration des connaisseurs, on appréciera la conviction qu’elle proféra le 6 mars 1939 : « Sois intègre tu ne vaudras pour toi et dans ton art que dans la mesure où tu seras absolument intègre ». Et voici Vera Brittain écrivant le 3 septembre 1939 : « Dans le calme ensoleillé des ajoncs et de la bruyère, il était impossible de prendre toute la mesure de la catastrophe. » Cette pacifiste britannique était sous le coup de la déclaration de guerre. Quant au Polonais Andrzej Bobkowski, il écrivait dans En guerre et en paix, son Journal 1940-1944 (passionnant document publié aux éditions Noir et Blanc, en 1991) : « Je me souviens d’un excellent livre d’André Maurois (…), dans lequel un Anglais dit à un Français : « Savez-vous pourquoi cette guerre (celle de 14-18 !) est si effroyable ? C’est parce que les Allemands n’ont pas le sens de l’humour ». Le XXe siècle de fait, n’a pas ménagé ses peines pour persévérer dans l’horreur. La place manque pour le raconter, il y faudrait autant des rayons de bibliothèque qu’il y eut de décennies. Aussi nous contenterons-nous de citer en nous arrêtant au 10 novembre 1942, cette lettre du romancier Vladimir Nabokov évoquant depuis le Minnesota un « papillon sublime dans les montagnes », au Maroc, et indiquant qu’il se nomme scientifiquement Lycaena vogelii Oberthür. Et pendant ce temps l’horreur se poursuivait en Europe sous la botte nazie.
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La préfecture de Salé a vu jeudi ses infrastructures dédiées aux jeunes se renforcer avec l’inauguration par SM le Roi Mohammed VI d’un centre d’insertion professionnelle des jeunes à Bouknadel.
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Le Conseil de gouvernement a adopté, jeudi, des propositions de nomination à de hautes fonctions, conformément aux dispositions de l’article 92 de la Constitution.
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L’international espagnol Alvaro Negredo va rejoindre Manchester City, a annoncé son club actuel, le FC Séville.
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Le président de la Fédération internationale de football (Fifa), Sepp Blatter, a mis la pression sur le Brésil, après les troubles sociaux qui ont accompagné la Coupe des Confédérations en juin.
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Le ministre espagnol des Affaires étrangères et de la coopération, José Manuel Garcia-Margallo, a qualifié, jeudi, de “magnifique” et de “succès total” la visite qu’effectue le Roi Juan Carlos 1er au Maroc depuis lundi, à l’invitation de SM le Roi Mohammed VI.
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SM le Roi Mohammed VI et SM le Roi Juan Carlos 1er se sont félicitées de “l’excellent état” des relations bilatérales dans tous les domaines, ainsi que du renforcement des échanges à tous les niveaux entre le Maroc et l’Espagne et ont encouragé leurs gouvernements à continuer à travailler dans cette voie pour développer davantage ce nouveau modèle de bon voisinage entre les deux Royaumes.
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Victime d’un canular sur Twitter, l’athlète français Mehdi Baala a démenti mercredi auprès de l’AFP avoir pris officiellement sa retraite sportive.
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Huit personnes ont été blessées légèrement, jeudi, dans une bousculade survenue au niveau du point de passage dit Barrio Chino vers le préside occupé de Melilia, selon les autorités locales.
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En ce troisième ramadan sous les bombes, les Syriens se réfugient dans l’humour noir pour lutter contre la déprime et font jouer la solidarité pour aider les plus démunis.
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Le président de la Fédération internationale de football (Fifa), Sepp Blatter, a fait part mercredi pour la première fois de son désir de voir la Coupe du monde 2022 au Qatar se disputer en hiver.
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Le leadership clairvoyant de SM le Roi Mohammed VI confère au Maroc un cachet singulier dans une région arabe en proie à l’instabilité et à l’insécurité, écrit mardi le quotidien américain “The Hill”, pour qui le Royaume continue de vivre aujourd’hui au rythme des réformes démocratiques et sociales initiées par le Souverain.
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Le ministre de l’Intérieur Mohand Laenser s’est entretenu, mardi à Rabat, avec son homologue espagnol Jorge Fernandez Diaz, des questions sécuritaires d’intérêt commun et concernant également l’Union européenne.
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Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté, mardi après-midi, une nouvelle Déclaration Présidentielle (PRST) sur la région du Sahel, présentée par le Maroc.
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Les éléments de l'équipe préfectorale drogue mettre fin aux actions d'un revendeur de cocaïne présumés d'origine subsaharienne, indique mercredi de source policière.
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Les enquêteurs de Québec envisageaient la piste mardi de « négligence criminelle » pour expliquer l'explosion d'un convoi de réservoir dans la ville de Lac-Mégantic.
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Les fabricants suisses gardent un oeil vigilant sur les développements d’Apple sur le marché de l’horlogerie mais se montrent pour l’instant serein.
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Le président de la Chambre des représentants, Karim Ghellab s’est entretenu, mercredi à Rabat, avec le président du Rassemblement pour le Mali (RPM), Ibrahim Boubacar Keïta sur les moyens de renforcer la coopération entre les deux pays.
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Des avions Asiana Airlines Boeing 777 que s'est écrasé samedi à San Francisco a été si incliné vers l'arrière que l'un des pilotes ne pouvais pas voir la piste.
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Le procureur général égyptien a ordonné mercredi l'arrestation du Guide suprême des frères musulmans, Mohammed Badie et autres hauts responsables de la confrérie.
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Le ciment ferme une première que moitié caractérisée par une baisse de consommation de 13 %.
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Le bout du tunnel semble à portée de main pour le projet futuriste de liaison fixe Afrique-Europe, sous le détroit de Gibraltar.
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Mercredi, il a démissionné le directeur sportif du Paris SG Leonardo et son départ sera effectif aux fins de transferts, ou le 2 septembre en France
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La justice égyptienne a ordonné mercredi l’arrestation du Guide suprême et de plusieurs responsables des Frères musulmans dans le cadre des violences meurtrières de lundi au Caire
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A la une ce matin: Ahmed Toufiq procède à la fermeture des mosquées “illégales”, Hamid Chabat affirme que la chute du gouvernement Benkirane se fera à travers les urnes…
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Depuis des millénaires, les chamans ont toujours eu une place à part. Si le chamanisme figure parmi les médecines les plus ancestrales, il est aussi l’un des premiers moyens développés par l’homme pour entrer en contact avec l’invisible et le sacré.
Ces pratiques n’ont pas disparu, bien au contraire. Pour tenter d’en comprendre les fondements, le réalisateur Jean-Michel Corillion est parti au Maroc pour un voyage initiatique « en pays chaman ». Dans ce monde mystérieux et troublant, il a rencontré des « possédés » et des mystiques, tel Abdellah.
Ce chaman, connu de tous dans la région, a gagné sa « baraka » dans l’initiation et l’errance. Il défie aujourd’hui les reptiles les plus dangereux au monde. Mais vaincre les serpents n’est pas son seul pouvoir. Abdellah soigne les « malades » et apaise, lors de cérémonies spectaculaires, les djinns, ces esprits maléfiques qui investissent le corps des hommes en exerçant sur eux leur pouvoir pernicieux. Pourquoi, au XXIe siècle, certains envisagent-ils la guérison en se tournant vers le chamanisme et la transe ? Ce documentaire en propose une étonnante et fascinante réponse…
Réalisé par Jean-Michel Corillion
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Depuis des millénaires, les chamans ont toujours eu une place à part. Si le chamanisme figure parmi les médecines les plus ancestrales, il est aussi l’un des premiers moyens développés par l’homme pour entrer en contact avec l’invisible et le sacré.
Ces pratiques n’ont pas disparu, bien au contraire. Pour tenter d’en comprendre les fondements, le réalisateur Jean-Michel Corillion est parti au Maroc pour un voyage initiatique « en pays chaman ». Dans ce monde mystérieux et troublant, il a rencontré des « possédés » et des mystiques, tel Abdellah.
Ce chaman, connu de tous dans la région, a gagné sa « baraka » dans l’initiation et l’errance. Il défie aujourd’hui les reptiles les plus dangereux au monde. Mais vaincre les serpents n’est pas son seul pouvoir. Abdellah soigne les « malades » et apaise, lors de cérémonies spectaculaires, les djinns, ces esprits maléfiques qui investissent le corps des hommes en exerçant sur eux leur pouvoir pernicieux. Pourquoi, au XXIe siècle, certains envisagent-ils la guérison en se tournant vers le chamanisme et la transe ? Ce documentaire en propose une étonnante et fascinante réponse…
Réalisé par Jean-Michel Corillion
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Eska Mtungwazi a marqué l’ouverture du Festival Gnaoua 2013 d’Essaouira. Elle s’était déjà bien faite remarquée l’année dernière. Née au Zimbabwe, elle a grandi à Londres où elle est habituée au métissage des influences et les styles.
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L’armée égyptienne a prévenu lundi qu’elle interviendrait si les revendications du peuple n’étaient pas satisfaites dans les prochaines 48 heures, au lendemain de manifestations massives.
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Le ministre délégué auprès du Chef du Gouvernement, chargé de l’Administration de la Défense Nationale, M. Abdeltif Loudyi, a reçu, lundi à Rabat, le vice-ministre turc de la Défense, M. Hassan Kemal Yardimci, en visite officielle dans le Royaume.
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Eska Mtungwazi a marqué l’ouverture du Festival Gnaoua 2013 d’Essaouira. Elle s’était déjà bien faite remarquée l’année dernière. Née au Zimbabwe, elle a grandi à Londres où elle est habituée au métissage des influences et les styles.
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Depuis des millénaires, les chamans ont toujours eu une place à part. Si le chamanisme figure parmi les médecines les plus ancestrales, il est aussi l’un des premiers moyens développés par l’homme pour entrer en contact avec l’invisible et le sacré.
Ces pratiques n’ont pas disparu, bien au contraire. Pour tenter d’en comprendre les fondements, le réalisateur Jean-Michel Corillion est parti au Maroc pour un voyage initiatique « en pays chaman ». Dans ce monde mystérieux et troublant, il a rencontré des « possédés » et des mystiques, tel Abdellah.
Ce chaman, connu de tous dans la région, a gagné sa « baraka » dans l’initiation et l’errance. Il défie aujourd’hui les reptiles les plus dangereux au monde. Mais vaincre les serpents n’est pas son seul pouvoir. Abdellah soigne les « malades » et apaise, lors de cérémonies spectaculaires, les djinns, ces esprits maléfiques qui investissent le corps des hommes en exerçant sur eux leur pouvoir pernicieux. Pourquoi, au XXIe siècle, certains envisagent-ils la guérison en se tournant vers le chamanisme et la transe ? Ce documentaire en propose une étonnante et fascinante réponse…
Réalisé par Jean-Michel Corillion
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Eska Mtungwazi a marqué l’ouverture du Festival Gnaoua 2013 d’Essaouira. Elle s’était déjà bien faite remarquée l’année dernière. Née au Zimbabwe, elle a grandi à Londres où elle est habituée au métissage des influences et les styles.
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Partager Environ 50 ont été identifiés des projets dans les domaines de l'énergie, eau, environnement et l'enseignement supérieur et la recherche scientifique, l'industrie et l'esprit d'entreprise, santé. Une réunion tenue à New York le 23 juin 2012, avec le MRE sur les sites actuels pour le Maroc, information et sensibilisation ont précédé cette réunion. Environ 50 ont été identifiés des projets dans les domaines de l'énergie, eau, environnement et l'enseignement supérieur et la recherche scientifique, l'industrie et l'esprit d'entreprise, santé. Organisé en collaboration avec le réseau des compétences marocaines (AMCN), cette réunion visait à « impliquent des compétences marocaines-américain dans le processus de développement du Maroc et de contribuer au développement de la coopération économique, technologique et commerciale entre le Maroc et les États-Unis, » affirme le ministère chargé des MRE. AMCN, mis en place il y a un an a réussi à rassembler l'expertise 500, dit le Président Boutjdir Mohamed. "Nous sommes optimistes, en même temps. Nous pouvons capitaliser, fournir des résultats probants et pour faire face aux défis, "a-t-il ajouté. Réseau de partenaires AMCN s'élargit au début de la réunion, deux accords ont été signés. Le premier est une image de la Convention dans le domaine de l'éducation et la recherche scientifique, le ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, l'Université Mohammed V Souissi et AMCN. Le but est de promouvoir la recherche entre ces trois entités. « Grâce à cet accord, nous espérons voir un débit beaucoup plus grand avec les États-Unis, » a déclaré le Président d'Université de Souissi M-V, me rabet Rabii. La deuxième Convention entrera dans le domaine de la santé entre le ministère chargé des MRE et anti poison centre AMCN et de pharmacovigilance du Maroc qui « espère que, grâce à cette collaboration. » partage d'expériences innovantes avec les États-Unis, usage rationnel des médicaments le AMCN ainsi mis en place ses premières collaborations et a l'intention de continuer sur cette lancée en partenariat avec des organisations gouvernementales et non gouvernementales. Objectif : renforcer la capacité et de chercher le développement durable pour le Maroc. Le résumé AMCN Boutjdir Mohamed, Président de la structure, le AMCN est un réseau composé d'une douzaine des associations marocaines indépendantes établies dans les Etast Unis. Créé en juin 2012, l'objectif est de promouvoir le développement socio-économique du Maroc, de renforcer les relations entre le Maroc et les Etats-Unis, mais aussi d'établir un modèle pour les générations futures » Partager Article-marocains participent à la croissance du Royaume d'abord apparu sur les échos de la soirée. En savoir plus sur les échos dans la soirée
Appareillage électrique : Simon International présente sa nouvelle gamme Simon International S.A, entreprise spécialisée dans la conception et la fabrication d’appareillages électriques, dans la protection et dans le pré-câblage, a procédé au lancement sur le marché marocain d’une nouvelle série d’appareillage baptisée Simon 54 Premium. Cette nouvelle gamme se distingue par l’originalité de ses formes (carrées et bombées) et de ses couleurs, de la largesse des combinaisons de cadres et touches possibles (55) et de ses fonctionnalités nouvelles à la pointe de la technologie, lesquelles garantissent aux utilisateurs un confort absolu. La série 54 est l’un des modèles d’interrupteurs les plus modernes et les plus innovants. Style luxueux, design chic, élégant et tendance, sécurité, qualité, confort et noblesse des couleurs sont mis en avant grâce à l’alliance réussie de matériaux raffinés utilisés dans sa conception. La Série 54 est une réussite qui symbolise l’effort constant de Simon International en matière d’innovation et de Recherche et Développement. Cette nouvelle gamme dispose de facultés high-tech. Celles-ci haussent le niveau de confort tout en gardant un prix du produit très accessible au consommateur. Elle propose une collection diversifiée se composant de trois gammes (Premium Elite, Premium Top et Premium), à travers lesquelles le consommateur a le choix entre 5 couleurs de touches, 3 types de cadres déclinable en 11 matières et couleurs différentes, soit 55 combinaisons pour satisfaire le plus largement possible les goûts des consommateurs.
Cinq couleurs de touches : blanc, crème, aluminium, anthracite et cava
Trois types de cadres déclinables en 11 couleurs:
- Elite: chrome, inox, acier noir et cuivre rustique
- Top: aluminium, marron mat, tapis d’or et anthracite
- Premium: blanc, crème
Grâce à cette diversité de gammes, de couleurs et de matériaux très en vogue, la série 54 offre aux intérieurs un aspect soigné et chic. La série est actuellement en vente dans les grandes surfaces de bricolage Bricoma. L’arrivée de la série Simon 54 Premium est perçue, par son design et son innovation, comme l’assise de la nouvelle dynamique de Simon International au Maroc.
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Partager MEP accueille tout au long de milliers de visiteurs, dont la majorité est constituée de MRE. La cinquième édition de l'Expo de propriété internationale, Maroc samedi, au Palais des Congrès de Montréal avec la participation des développeurs, les gouvernements et les banques du Maroc. Inauguré par l'Ambassadeur du Maroc au Canada, Nouzha Chekrouni, ce salon de l'immobilier dans le champ d'application est la nomination de promotion immobilière et d'un espace de rencontre entre professionnels. Les visiteurs de salon ont pu se renseigner sur la nouvelle architecture et planification au cours des deux jours de l'exposition. Peuplements ont été réservés pour le groupe Al Omrane, le ministère chargé de la communauté marocaine résidant à l'étranger, les promoteurs immobiliers nationaux et les banques qu'ils transmettraient à la diaspora marocaine leurs nouvelles offres. Partager Article propriété Maroc Expo tenue que sa 5e édition est apparu en premier sur les échos de la soirée. En savoir plus sur les échos dans la soirée
Partager Une mesure disciplinaire au délégué de l'employé, le gestionnaire et le représentant de l'Union sont l'avis de l'inspecteur du travail. Dans quels cas doit l'employeur doit solliciter l'avis de l'inspecteur ? Quelle est la procédure à suivre en cas de punition de l'employé "protégée? Et quels sont les moyens de recours contre la décision ? Mesures disciplinaires qui requiert l'avis de l'inspecteur Le code du travail prévoit la protection des travailleurs contre les abus de certains employeurs. L'employeur a le droit de prendre à leur encontre moins sévèrement comme avertissement, blâme sans demander l'avis de l'inspecteur du travail. Dans le cas d'une sanction sévère, l'employeur exige que le représentant de l'employé sur sévère sur le changement de service ou de fonction, la promenade et le licenciement d'un adjoint du titulaire ou remplacer des employés. L'article 457 du code du travail précise que ces mesures sont "sous réserve d'une décision adoptée par l'agent affecté à l'inspection du travail. Le Code du travail plus recommande que la même procédure doit être appliquée aux anciens délégués employé pendant une période de six mois à compter de l'expiration de leur mandat, mais aussi des candidats avec les fonctions de délégués des travailleurs lors de l'établissement des listes électorales et pour une période de trois mois après l'annonce des résultats des élections (voir article 458). Par extension, l'article 472 du code du travail apporte le même niveau de protection dont bénéficie la déléguée syndicale de salariés représentatives. En d'autres termes, il ne devrait pas être l'objet d'une mutation ou une mise à pied ou un licenciement sans l'approbation de l'inspecteur du travail. Consultation avec l'inspecteur du travail Avant la saisine de l'inspecteur du travail, l'employeur en cas de négligence grave peut prononcer un licenciement contre le délégué syndical ou de représentant. Ce licenciement ne constitue pas une sanction, mais une mesure prudente qui permet à l'employeur de congédier un employé de son poste temporairement dans l'attente de l'avis de l'inspecteur du travail. L'employeur doit alors placer l'inspecteur pour demander son avis sur les mesures disciplinaires applicables les prétentions de l'employeur. Doit envoyer un écrit contre accusé de réception, elle doit contenir les griefs reprochés à l'employé. L'inspecteur du travail doit ouvrir une enquête au sein de l'Etat, une décision motivée. Non seulement doivent les accusations de l'employeur, mais ils doivent aussi écouter l'employé et convoquer toute personne qui semblait être utile dans le cadre de son enquête. L'inspecteur est tenu de prendre sa décision, soit accorder ou refuser un consentement jusqu'il y a 8 jours c'est passé après le report (voir 459). Le recours contre la décision de l'examinateur Il convient de préciser que les décisions prises à cet égard par les inspecteurs du travail sont comme le contentieux administratif, susceptible d'appel ou devant les tribunaux administratifs ou de la hiérarchie administrative de l'inspecteur du travail. La personne lésée si employeur et un salarié peut demander à la hiérarchie de l'inspecteur du travail, à savoir l'occupation ou le ministre du travail. Ils doivent décider sur cette décision, qui confirme ou l'annulation pour illégalité. En cas d'annulation, ils prononcent nouveau sur autorisation de la demande de renvoi. La partie lésée peut également attaquer la décision devant le Tribunal administratif pour demander l'annulation de la réservation. La Cour administrative peut confirmer ou infirmer la décision. Les tribunaux administratifs contrôlent la validité des décisions et le respect des procédures réglementaires. Partager Cet article est l'avis de l'inspecteur du travail irrévocable ? première apparition sur les échos de la soirée. En savoir plus sur les échos dans la soirée
Partager Les plus populaires de Baqbou & w. Calhoun au sommet de leur spectacle. Libérant une pléthore d'artistes du mouvement et de l'air de Essaouira bonne bande dessinée, le Festival Gnaoua et musiques du monde en harmonie avec ancienne Mogador, un spectacle qui a proposé une nouvelle fois, les principes fondamentaux de la Maalem Hamid El Kasri, a le pouvoir de neka, toujours fidèle à son âme, la présence évidente de Mahmoud Giine en passant par le riche répertoire de Eska. Partager Article variations sur d'autres thèmes apparaissent d'abord sur les échos de la soirée. En savoir plus sur les échos dans la soirée
Tous les noms évocateurs poèmes célébrant la même source, l'origine et indéniable : l'Afrique. Ouvrir un nomade état d'esprit, esprit de tolérance, grand et généreux, identité multiple, source d'inspiration. Témoin de ce vent de liberté et d'ouverture aux autres, marquée notamment par une soirée d'ouverture de la rencontre sans précédent entre Gnaoua Maalem ladite Floriana et The Bahri Annadi Bédouins conduit Émirats Arabes Unis. Créant un imprévu qui l'énergie communicative et le rare talent d'artistes deviennent magiciens, conteurs, les ambassadeurs des cultures du monde. Ils sont en outre, le jazz, sahraoui, gnaoua, qui bat la mesure, par la voix de Mehdi Nassouli sont toujours envoûtant Oulm tissage.
Au sujet des fusions, emblématiques des pistes Festival Gnaoua et musiques du monde, aujourd'hui ont participé à un plan artistique, en parfaite harmonie avec l'identité de cet événement. En digne représentant, est le nom de zee Maalem Niccolò, qui se brise : les voix humaines triomphantes, comme son homologue, Maalem Hassan Boussou, qui marque l'histoire de cette évolution. Comme une musique de jazz, a convoqué une nouvelle page librement personnalisée sur Moulay Hassan stade où s'est produite sur le projet de Karim Ziad (nouvelle expression d'African jazz), Richard Bona et Maceo Parker (référence Dj). Titres de fièvre, contenant de la musique et la ville Festival, Festival Gnaoua et musiques du monde de plus en plus a pu décrire, se renouvelle sans perdre sa passion et son acharnement. .
Partager Le Comité de stabilité financière économique et Union monétaire de l'Afrique de l'Ouest (CSF-UEMOA) qui s'est tenue vendredi que les perspectives de croissance devraient être favorables aux huit États membres, avec une prévision de croissance de 6,5 % du produit intérieur brut (PIB) à la fin de 2013. Après il y a une augmentation de 6,4 % en 2012, le rythme d'expansion de la conjoncture à 6,5 % en 2013, a déclaré le Président de la CSF-UMOA et le gouverneur de la Banque centrale de l'États Afrique de l'Ouest (BCEAO), Giuliana Meyliet Koné. « La stabilité financière de la Commission de l'UEMOA a souligné la nécessité pour les huit membres d'accorder une attention particulière aux risques que les retards dans la normalisation sociale et politique dans certains États pourraient peser sur la croissance de l'Union, » a-t-il ajouté à la fin de la première réunion ordinaire de l'UEMOA-CSF en l'an 2013. Tiémoko Meyliet Kone signalés sur le rétablissement de la situation du marché financier régional par le retour de la stabilité politique en Côte d'Ivoire. UEMOA détecte une légère reprise de la croissance économique mondiale et devrait atteindre 3,3 % à la fin de 2013, contre 3,2 % en 2012. Les recommandations du FSC Le CSF-UEMOA note toutefois que cette augmentation est encore timide pour freiner la baisse observée dans l'application de certaines matières premières exportées par les pays de l'Union. Concernant le marché mondial des capitaux, le CSF de l'UEMOA a noté avec satisfaction la poursuite de la dynamique de récupération a commencé en 2012. Cette dynamique se traduit par des niveaux appréciables, indices boursiers majeurs et la réduction des primes de risque, a expliqué l'organisme. Ainsi, ses membres ont estimé que la situation macro-financière à court terme ne révèle pas les risques pour l'UEMOA. Le CSF recommande, cependant, l'application effective des dispositions légales relies au paiement des primes dans huit pays de l'UE. Vous devez évaluer l'impact de cette mesure sur la réduction des arriérés de paiement des dettes, dit le communiqué final de la réunion. Le CSF recommande également le renforcement de la surveillance du système financier de l'UEMOA. Une charte régissant la coopération entre les organes de contrôle du système financier de l'Union a été adoptée à la réunion. Partager Cet article de croissance de l'Afrique de l'ouest de 6,5 % pour l'UEMOA en 2013 est apparu en premier sur les échos de la soirée. En savoir plus sur les échos dans la soirée
Le leader mondial de l’imagerie, Epson est le premier fabricant d’imprimantes au monde à introduire un nouveau système d’impression: le réservoir d’encre intégré de très haute capacité avec des bouteilles d’encre pour la recharge. Baptisée Ink Tank System (ITS), cette innovation propose un système d’impression avec une importante volumétrie et un coût par page extrêmement faible. Résultat: ITS offre une alternative rentable par rapport aux imprimantes à cartouches d’encre traditionnelles. Grâce à sa grande expérience en matière d’impression jet d’encre, Epson a lancé la première gamme d’imprimantes avec réservoirs d’encre intégrés. Au Maroc, neuf modèles sont aujourd’hui disponibles pour les imprimantes monofonction ou multifonction (avec scanner et/ou fax) ainsi qu’en versions couleur ou monochrome. Chacune est équipée de la technologie Micro Piezo Epson qui garantit l’obtention systématique de documents de haute qualité à des coûts par page ultra-faibles grâce à l’encre originale Epson fournie en bouteille. Les imprimantes Epson ITS possèdent un réservoir d’encre à grande capacité intégré avec des bouteilles grand volume (de 70 ml à 140 ml selon les modèles) pour le rechargement. Ils sont tous dotés de la technologie de recharge d’encre rapide d’Epson, comprenant des bouchons hermétiques et des filtres spécialement conçus pour réduire le gaspillage d’encre. Contrairement aux autres systèmes de recharge (CISS), tous les modèles sont couverts par une garantie Epson.
Une innovation qui répond aux attentes des particuliers et des entreprises
« Ink Tank System a été développé pour les utilisateurs qui recherchent le coût d’impression le plus faible sans toutefois compromettre la qualité d’impression ni la garantie. Il est idéal pour les utilisateurs finaux qui veulent des coûts d’impression plus faibles sans sacrifier la qualité. Ces imprimantes sont plus chères à l’achat que d’autres machines vendues sur le marché, mais grâce au système ITS, le retour sur investissement est garanti en très peu de temps. Les 4 bouteilles d’encres (CMYK) fournies avec les imprimantes de la Série L sont l’équivalent de 34 cartouches d’encre traditionnelles et permettent d’imprimer jusqu’à 4 000 pages en noir et 6 500 pages en couleur », a expliqué Jean-Marie Lacroix, vice-président des marchés émergents d’Epson. Selon les responsables de la société, la nouvelle gamme d’imprimantes Epson ITS Série L est idéale pour les particuliers et les petites entreprises qui cherchent à réduire les coûts d’impression sans sacrifier la qualité. Les modèles multifonction de la Série L (L550, L355 et L210) sont équipés de réservoirs d’encre ultra haute capacité pouvant être rechargés avec de l’encre d’origine Epson facilement et avec efficacité. Ajoutons aussi que Epson a spécialement conçu une imprimante ITS photo Epson L800 qui permet d’imprimer 1 800 photos au format 10×15 cm avec un seul jeu de bouteilles d’encres (6 couleurs).
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Partager Quelle était la stratégie de la MCJ sous votre mandat ? Puisque vous avez pris la direction du mouvement, vous ne pouvez que vous établissez vos actions ? Le concept de la performance globale est l'un des piliers de votre mouvement. Expliquer ce concept et comment il peut aider les entreprises ? Le week-end prochain, organiser votre Congrès. Quel est l'objectif de ce grand rendez-vous et quelles sont vos attentes ? Qu'appelez-vous membres du mouvement et les fonctionnaires trop ? BIO EXPRESS Partager Dans cet article, « la valeur de la responsabilité doit accompagner tout acte de l'esprit d'entreprise » est apparu en premier sur les échos de la soirée. En savoir plus sur les échos dans la soirée
Face à la situation économique actuelle, il est évident que les chefs d'entreprise rencontrent des difficultés. Quelles sont et quelles sont les solutions proposées par les approches de MCJ ?
En fait, dans ce cas particulier, les chefs d'entreprise se plaignent du manque de visibilité et pour plusieurs années. Même à court terme, les entreprises chefs de file sont perturbés par les effets de cette crise ont été importées par nos voisins européens. Pour les jeunes dirigeants, la solution se trouve nécessairement dans la révision de la performance du modèle désiré. Doit être recherchée en matière de durabilité. Cela n'est possible si le leader adhère à la nécessité d'intégrer les objectifs et les intérêts de tous les intervenants de son entreprise.
Mon mandat est irrévocablement destinée à promouvoir la performance globale et ses outils conçus et distribués par la MCJ. Je souhaite également sensibiliser les jeunes à entreprendre. L'idée maîtresse est de se rappeler que la valeur de la responsabilité doit accompagner tout acte de l'esprit d'entreprise.
Dès le début de mon mandat comme la MCJ, nous retiendrons que le Maroc plus de 20 chefs ont commencé à expérimenter et à mettre en pratique les préceptes de la performance globale dans leur entreprise.
Est les outils conçus par MCJ au souverain, afin que vous pouvez mesurer les niveaux de performance de son activité vers les parties prenantes. Tout fonctionnaire peut aussi, gratuitement et en quelques heures, se faire une idée de ses performances économiques, avantages sociaux, sociales et environnementales, en répondant à un questionnaire sur gps.cjd.net.
MCJ, le leader peut également être accompagné d'autres dirigeants pour faire progresser leur entreprise dans sa performance globale par le biais de commissions spéciales, y compris extrêmement efficace.
Le Congrès de la MCJ est un événement qui se termine le mandat de deux ans de l'actuel président national et sert de passage de témoin au prochain président national, déjà connu pour quelques mois. Est Harvey Zoubairi, JD de Marrakech, vous aurez le plaisir de remettre en cause sa stratégie. Le thème retenu pour cette conférence est la difficulté que les têtes ont à vivre pleinement leurs valeurs dans le cadre de leur entreprise et souvent les valeurs imposées, chassés de leur environnement. C'est pourquoi nous allons vivre un grand congrès ou ce problème sera résolu sous différents angles comme psychologie, histoire, science politique et sociologie. Au-delà touchant témoignage. Ne cite pas de noms, parce que la richesse du programme ne me permet pas d'être exhaustif.
Les dirigeants, je voudrais rappeler que l'avenir de la société dépend de la satisfaction des parties impliquées, clients, fournisseurs, employés, communautés, etc.. J'implore les représentants du gouvernement de considérer la variable temps dans leurs efforts.
Hazim Anyika possède le diplôme de l'ENCG Settat en audit et contrôle de gestion en 1999. En janvier 2000, il a reçu une maîtrise en administration des affaires et de gestion et de sa vérification et DESS SME development en France. Hazim Anyika a commencé sa carrière comme un banquier à la Banque commerciale du Maroc (actuel Attijari Wafa Bank). En 2002, fait une pause dans sa carrière et créé avec deux associés à Montpellier, une entreprise de consulting et de recherche évaluation d'entreprise, Cadet LR. En 2004, il rejoint polyvalent Lamel Maroc, fabricant et installateur de cuisines professionnelles et des laveries à Casablanca pour soutenir le développement des affaires. Après que huit ans avec polyvalent Lamel, Hazim Anyika Maroc créera en 2012 la question se spécialise dans la création de solutions de ludo-éducatives. Prévues et régulièrement anime team-building pour renforcer la cohésion de l'équipe et créer un environnement propice au travail au sein de l'entreprise. Son engagement social, en plus de ses activités professionnelles, l'a amené à effectuer (Centre des jeunes dirigeants du Maroc) MCJ depuis 2011.
Condividi Tedros Adhanom, Etiopia del ministro degli affari esteri. Etiopia (Africa orientale) vuole ispirazione dallo sviluppo del modello di Corea del sud per raggiungere il decollo. Sviluppo delle risorse umane, ammodernamento delle aree rurali, progressi nella fabbricazione e trasformazione di un'economia basata sull'agricoltura a un'economia industriale matura, Addis Abeba notevolmente intende trarre vantaggio dalla sua collaborazione con Seoul per il suo sviluppo. L'etiope ministro degli esteri, Tedros Adhanom, ha detto giovedì scorso, durante la sessione di apertura del Forum Etiopia Sud-Corea di quattro giorni a Seoul che il commercio di cooperazione tra i due paesi è un trend positivo, con aziende coreane che stanno già investendo in pelle e tessuto in Etiopia e altri nella produzione automobilistica. Il ministro è stato accompagnato da una numerosa delegazione di 160 membri con l'obiettivo di evidenziare investimenti non sfruttato, commercio e potenzialità commerciali del turismo tra i settori privati di entrambi i paesi. Tedros Adhanom, crea l'evento "un'eccellente opportunità per istituzioni accademiche e di ricerca etiope per imparare loro controparti coreane. "L'Etiopia ha un clima ottimo investimento per gli investitori stranieri", ha detto, suggerendo che la società sud coreana potrebbe trarre vantaggio dei loro investimenti nella produzione automobilistica, estrazione mineraria, industria agroalimentare, tessile e la produzione di abbigliamento e pelletteria. Un paese con un enorme potenziale Negli ultimi anni, ha detto, ci fu un aumento della domanda sul mercato coreano del sud etiopico prodotti agricoli di alta qualità, tra cui caffè, semi di sesamo, fiori, prodotti tessili, cuoio e bestiame. "Crediamo che il coreano business centre recentemente istituito, l'ufficio dell'agenzia commerciale Corea ad Addis Abeba, può svolgere un ruolo importante nel miglioramento dell'interazione tra le aziende", ha detto il ministro. La delegazione Etiopia ha presentato le strategie di sviluppo del paese, suoi progetti di sviluppo più importanti che un complesso industriale per coreano aziende prima di fare la sua volontà di rafforzare la cooperazione con aziende coreane. Va notato che il FKI, la Federazione dell'industria coreana, con la camera di commercio ed etiopi industria firmato un accordo di cooperazione per aiutare aziende coreane a entrare nel mercato etiopico. Etiopia, il secondo paese più popoloso in Africa, è ricca di gas naturale e risorse minerali come rame e oro. Va notato che il Forum è stato organizzato congiuntamente dai due paesi per scambiare opinioni sul rafforzamento dei collegamenti globali di investimento, il commercio e le relazioni diplomatiche. Condividi Articolo East Africa: Etiopia vuole che il modello della Corea del sud è apparso primo sugli echi di sera. Leggere di più gli echi di sera
Partager La société africaine de réassurance (Africa Re) a tenu sa 35e session annuelle de son Assemblée générale ordinaire à Dakar jeudi dernier. Cette réunion a été l'occasion pour les participants à développer le secteur des assurances au Sénégal. Dans ses commentaires en marge de la cérémonie d'ouverture de la réunion, Musa El Naas a dit que le Sénégal est un grand magasin et la croissance de l'entreprise pour les assureurs et réassureurs, ainsi que tous les autres commerçants et les investisseurs en raison de la stabilité et de la tradition démocratique. Avec une production annuelle de quelque 90 milliards de francs Cfa, du 2010 et une prime de réassurance dans l'ordre de 20 milliards de francs Cfa, les Sénégal est aujourd'hui considéré comme le troisième marché d'assurance en Afrique occidentale et centrale. Le pays se classe juste après la Côte d'Ivoire et le Cameroun. Avec une production annuelle de 90 milliards de francs Cfa de 2010 et une prime de réassurance dans l'ordre de 20 milliards de francs Cfa. Il se classe d'ailleurs juste après la Côte d'Ivoire et le Cameroun. Le marché de l'assurance et de réassurance au Sénégal est un marché à fort potentiel et achève la construction. Par exemple, Musa El Naas dit qu'il a signé King Afrique Sénégal des primes de réassurance de 2 milliards de francs Cfa en 2012, ou une part de marché de 10 % par rapport à moins de 4 % en 2011. Plusieurs mesures ont été prises par les autorités sénégalaises comme la promulgation du décret rendant obligatoire d'assurance des risques de la construction au Sénégal ou encore la diminution des taxes sur le feu, qui est passée de 20 % à 10 %. Le Président de la Fédération sénégalaise des sociétés d'assurances (Fssa), Mor Wo souhaité roi Afrique de l'Assemblée générale doit être consacré à de nouvelles possibilités pour l'africaine d'assurances et de réassurance. Améliorer l'environnement des entreprises Pour sa part, le Secrétaire général du ministère de l'économie et des Finances a annoncé la validation et l'exécution au cours d'un programme de réforme globale de l'environnement des entreprises et la compétitivité (Preac). Deuxième femme automne Kane, le gouvernement accorde une place de choix pour améliorer le climat des affaires. Ce vaste programme (Preac) concentre près de 50 mesures pour être exécuté d'ici à 2015. Africa Re est un réassureur en Afrique. La structure basée à Lagos (Nigéria) a atteint un chiffre d'affaires de 647,98 millions d'euros (environ 324 milliards de francs Cfa) au cours du dernier exercice et a bénéficié d'une cote financière (A-) créée par Standard and Poor. L'Afrique est la plus grande compagnie de réassurance du monde Qu'africanus Bureau créé en 1976 par la Banque mondiale et la Banque asiatique de développement avec nouveaux actionnaires que le Brésil. Son principal objectif est de conserver les primes d'assurance sur le continent africain et de développer l'assurance générale. Selon son directeur général, Corneille Karekezi, la société est devenue un outil important pour le financement du développement des Etats d'Afrique d'Ouest. Partager Cet article au Sénégal : le marché de l'assurance et de réassurance a le vent dans les voiles est apparus en premiers sur les échos de la soirée. En savoir plus sur les échos dans la soirée
